Elle descende coment colombes une autre fois sur mes monde, monde fait du cement, des graffittis laides, de la poussiere...
Tu es, peut être, avec un autre, de une maniere inattendue, sans me donner la chance de être prête, sans du temp por me habituer. Tu ne es pas responsable. Je ne saivais pas que je n' était prepare pour cet vide, cet vent froid. Tout dépasse, tout devient une autre chose, il s' agit du donner temp au temp. Mais aujour'dui, je suis suel.
Maintenant, les choses me forcent a me voir, sans masques, tellement comment je suis, sans adition, sans soustraction. L' image de moi même me confront... Au revoir, belle chose. Tu as été une colombe pour me cacher, un refuge, mais il s' approcher le destin implacable d' être seul, et de grandir, finalment, sans un autre aide que mes propres recourses. Exilie des maisons qu' ont eu la place du mon âme, sans retourne, le chemin se alonge au nuit, au noir...
Au revoir... Les saisons changeront, les saisons nous souriront.
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